CAIRN.INFO : Matières à réflexion

1Bollack-Vernant. Une rencontre et une non-rencontre. Vernant n’a pas vraiment pris le temps de discuter en détail les positions de Bollack sur tel ou tel texte, ni encore sa position générale d’interprète. Il le cite avec respect, le discute à peine. Pour Bollack, Vernant est une référence fréquente, sur un mode le plus souvent polémique. Et pourtant, il y avait dans cette distance une solidarité. Tous les deux étaient opposés à l’institution alors centrale, la Sorbonne [1], qui régentait les études littéraires, décidait des carrières, de la légitimité des lectures.

2Une polarité s’est ainsi mise en place. Les études grecques étaient clairement divisées. D’un côté l’orthodoxie, ou plutôt l’orthopraxie, puisqu’il n’y avait pas de doctrine, à la Sorbonne et dans la plupart des Provinces (Besançon, avec Pierre Lévêque, faisant exception) ; de l’autre, les deux hérésies, à Lille avec Bollack et à Paris, chez Vernant. Les hétérodoxes, souvent, se soutenaient.

3La dissymétrie dans le couple était en partie une question de caractères, l’un et l’autre très ombrageux. Elle était, plutôt, liée à des choix profonds. Bollack avait choisi une science ancienne telle qu’elle aurait dû être, la « philologie », comprise comme science des œuvres de langage au sens large, allant de l’édition critique à l’interprétation, à la traduction et à l’analyse historique et théorique des traditions interprétatives, science qui n’avait pas sa place en France, mais qui n’avait aucune raison de ne pas s’y implanter, même dans un pays dominé encore par la Contre-Réforme, qui ne lit pas dans le but de lire et qui avait engendré ses avatars laïques. Il luttait pour que l’Université soit enfin conforme à sa définition, comme lieu d’un enseignement véritablement supérieur, où l’on fait de la science dans l’idée qu’elle peut irriguer l’enseignement secondaire et la culture. La philologie n’en sortait pas inchangée. Bollack luttait pour qu’elle se mette enfin à la hauteur de ses prétentions : lire scientifiquement les grands textes (du passé ou du présent) sans les diminuer, et sans verser, comme on le faisait pour l’Agrégation, dans l’admiration immédiate et non argumentée. L’intuition était qu’un pays rétif à la philologie mais qui avait su par ailleurs inventer une science moderne du langage et des sociétés, était le lieu où la science des œuvres pourrait enfin se déployer, en un lien constant avec l’actualité littéraire encore très vive de ce pays. Elle n’avait pas à y affronter un conservatisme figé, comme en Allemagne, que les vrais philologues, à quelques rares exceptions près, avaient désertée sans retour à cause du Troisième Reich, ou à s’imposer face à une obsession anti-interprétative, comme en Angleterre, où la philologie, très active et technicienne, demeurait contrainte par la philosophie empiriste.

4Bollack est resté à l’Université, dans une contradiction déterminée avec ce qu’alors faisait l’Université ; d’où son engagement syndical à l’Université de Lille, d’où son appui aux réformes qui, à partir des années 1970, tendaient à la rendre scientifique malgré elle, d’où la création, avec les étudiants et quelques collègues universitaires, d’un « Centre de recherche philologique » ouvert aux courants internationaux. Il était démontré que l’idéal cosmopolitique universitaire pouvait se réaliser au moins en un lieu, où l’on apprenait enfin à apprendre – le mot fétiche de « recherche », qui recouvre de nombreuses routines, n’avait pas encore vraiment cours.

5Vernant n’était pas universitaire et, visiblement, ne croyait pas à l’Université, à ses missions. Il l’a toujours négligée, n’a pas essayé d’y placer ses élèves, ou très peu. Elle ne trahissait rien pour lui, puisqu’elle n’était pas faite pour la création intellectuelle. Il apportait une science du dehors, la psychologie historique, qu’il reformulait en faisant de la Grèce un objet renouvelé par la confluence de disciplines séparées, l’anthropologie, l’histoire sociale et politique, l’histoire de la philosophie, l’iconologie, les études littéraires. Ses lieux étaient périphériques dans le système de l’enseignement supérieur, quel qu’ait été leur prestige, l’École pratique des hautes études (VIe, puis Ve section), le Collège de France [2].

6La connivence venait de ce que les études classiques en France se refusaient à affronter la question de l’interprétation, qui est au cœur des travaux de Bollack et de Vernant. Y régnaient deux sciences positives, de longue tradition. Celle des faits historiques, avec l’archéologie ; celle des structures sémantiques, avec la linguistique, qui pouvait être historique ou générale (les deux chez Émile Benveniste, lui même marginalisé au Collège de France et protégé par là), et qui reprenait ainsi la position de la grammaire de l’esprit défendue par les Idéologues tout en l’historisant dans une perspective à la fois diachronique et systématique. L’interprétation des configurations historiques singulières, notamment celles des œuvres littéraires, n’y avait pas sa place. Cela était laissé aux compétences rhétoriques activées pour la préparation au concours de l’Agrégation. Faits et systèmes étaient en France les deux pôles scientifiques de référence (selon une idée générale « française » qui est encore actuelle : elle se retrouve aujourd’hui promue au Cnrs, avec l’encouragement conjoint de l’archéologie, de la science de la genèse des textes et de leur transmission matérielle et immatérielle d’un côté, des sciences cognitives de l’autre). Bollack et Vernant ont brisé cette organisation traditionnelle des savoirs, chacun à sa manière.

7Le premier n’a pas suivi le mouvement général des années 1960-70 qui, contre l’historisme littéraire, qui n’avait de littéraire que son objet, puisque les œuvres renvoyaient indéfiniment à des séries de faits historiques extérieurs, a appliqué la perspective systématisante des sciences du langage aux textes, avec le structuralisme, que l’on voyait gagner l’Université, dans une réaction des Assistants fraîchement nommés après 1968 contre leurs Professeurs. Bollack, au contraire, a fait de l’œuvre singulière l’objet de l’interprétation. Le but était scientifique (avec l’utilisation intensive des outils de la science philologique, enrichie par la linguistique historique, qu’il enseignait aussi), mais il était aussi apologétique en un sens critique. Il s’agissait de défendre les « grandes œuvres » contre les réductions à la norme. « Grand » ne voulait pas dire qu’il y avait là des normes intemporelles ou les moments vrais d’une tradition classique et européenne qui nous englobe. Une valeur était reconnue aux textes à partir du moment où ils avaient produit une nouveauté historique. La méthode passait par une phase systématique de non-compréhension, avec un examen critique de toutes les variantes textuelles et de toutes les interprétations connues. Le sens était cherché à la surface du texte, comme lieu d’une possible prise de position de l’écrivain face à la tradition, et non pas, comme dans le structuralisme, en profondeur, car dans cette profondeur supposée la spécificité d’une écriture était neutralisée.

8En plus de l’exigence de science, cet idéal était à la fois éthique et politique. Éthique, car il fallait adresser aux œuvres, à leur liberté d’origine, la reconnaissance qu’on est tenu de leur donner ; ce ne sont pas de simples objets, ou de simples chefs-d’œuvre : dans leur existence concrète, dans le détail de leur forme, elles revendiquent, à tort ou à raison, une liberté singularisante qui leur donne le statut d’individualités historiques ; il s’agissait alors d’examiner, scientifiquement, si c’est le cas et comment cela a pu l’être. Et politique, car pour bien lire les textes il fallait créer dans l’Université les conditions institutionnelles d’une discussion libre et argumentée, sans hiérarchie préétablie, sur le sens et les potentialités des œuvres. Le « bollackisme » était intrinsèquement lié à Mai 68, d’où ses déboires institutionnels ultérieurs [3].

9Le second, Vernant, avait au contraire introduit la dimension herméneutique par un tout autre biais. Il ne s’intéressait pas aux œuvres en tant que telles, à la surface des textes, mais proposait une herméneutique des cultures qui conditionnent ces œuvres. Il l’a fait en croisant deux dimensions, traditionnellement incompatibles, des sciences des productions humaines. D’une part, une histoire générale, animée par la catégorie hégélienne de la contradiction, reprise dans le marxisme : un état social naît d’un autre en le contredisant. La liberté démocratique athénienne nie un mode traditionnel et familial de domination. Les polarités guidant l’interprétation sont alors dynamiques, un pôle se substituant plus ou moins progressivement à l’autre ; pour l’histoire des représentations et des validités : muthos et logos, et, au niveau des organisations sociales : genos et polis, avec un rapport d’homologie entre ces deux tensions. Ainsi, la naissance en Grèce de la pensée dite rationnelle peut être rapportée non seulement à l’apparition de « l’équivalent universel » qu’est la monnaie, comme on le disait déjà, mais, plus fondamentalement, à la constitution aux VIIe – VIe siècles dans les colonies ioniennes d’un espace public de confrontation, la cité, où ne valait plus la prégnance des normes du passé. Le lieu nouveau crée des possibilités nouvelles d’échanges discursifs. Le discours change de contenu si ses conditions d’énonciation et de réception sont transformées. Mais une telle perspective encore historiciste (on va du muthos au logos), si elle permet de reconstruire l’orientation du travail historique des sociétés sur elles-mêmes, n’ouvre pas encore à la compréhension précise des situations concrètes où un tel travail, la plupart du temps inconscient, se développe. Les situations sont complexes, chargées des idées contraires que le travail du temps historique a pour fin de démêler. Une autre perspective doit alors être convoquée, qui utilisera non l’idée de contradiction, mais celle d’ambiguïté, ou d’interférence. En effet, les principes historiques contraires sont, dans une situation donnée, solidaires, simultanément à l’œuvre. Le structuralisme est alors opérant, quand il s’agit d’interpréter des configurations singulières, comme la tragédie, où les idéologies contraires du genos et de la polis travaillent les même énoncés et les rendent ambigus. Une science doit alors couvrir ces deux perspectives différentes. C’est le rôle de la « psychologie historique » reçue d’Ignace Meyerson : il y a bien une histoire générale, où l’on voit se dégager des catégories comme la volonté ou la personne, mais cette histoire se réalise, de manière discontinue [4], dans les œuvres humaines, dans des milieux expressifs précis, matériels, où forme et contenu s’élaborent ensemble. Ce sont des moments singuliers qu’il s’agit de décrypter, et non seulement des tendances générales, puisque l’histoire psychologique de l’humanité se réalise chaque fois dans le particulier. Le structuralisme est alors profondément révisé, d’où le succès des analyses, qui, contrairement à lui, n’ont pas subi le contre-coup d’un épuisement du modèle. C’est, comme Vernant y insiste, un structuralisme sans grammaire, sans formalisme. Des pôles sémantiques antithétiques sont posés, puis est reconstruit le processus concret de leur coexistence où s’exprime une élaboration psychologique, chaque fois située. Le mythe, par exemple, n’est plus une catégorie générale, ou une somme abstraite et non située de variantes, mais un texte, un objet, une image, un culte, où il se réalise pleinement.

10Cette démarche nouvelle correspondait à l’esprit du temps. Elle rejoignait le projet scientifique de Fernand Braudel quand il fonda après la Guerre la VIe section de l’École pratique des hautes études [5]. L’idée était de convoquer autour d’une science en train de se systématiser et en fait nouvelle, l’histoire, les sciences systématiques que sont l’anthropologie, la sociologie, l’économie et la linguistique de manière à les changer, à les rendre concrètes, et par là à faire, en retour, de l’histoire une vraie science. Par l’accent qu’elle mettait sur les conditions psychologiques et culturelles de la production des œuvres singulières, la démarche de Vernant étendait aussi à la Grèce le rejet massif de l’idée d’auteur, rejet qui fondait le credo de nombreux « auteurs » des nouvelles sciences sociales.

11Avec son insistance sur l’individualité des œuvres, sur la marque qu’y imprime un auteur singulier, Bollack était donc intempestif. Face à l’omniprésence de l’ambiguïté dans les travaux de Vernant sur la tragédie, il pouvait, philologiquement, démontrer que les phrases du texte tragique ne sont pas ambiguës, qu’elles sont un travail sur l’ambiguïté première du langage, qu’elles réélaborent selon un sens précis et réfléchi. Mais cela, en raison même de l’attention qui était demandée pour les détails langagiers, dans une patience à la fois « juive » et « protestante » d’une lecture à la lettre, ne pouvait pas facilement contrebalancer les découvertes de Vernant sur la force historique des traditions, sur les catégories générales de la représentation que son travail minutieux d’herméneute mettait au jour. Les généralités que produit Bollack sont celles-là mêmes qui garantissent la singularité des œuvres, d’où son passage constant d’une époque à l’autre, de Sophocle à Celan, puisque le problème posé est chaque fois le même. Elles sont comparatives dans le projet initial de Vernant, qui réfléchissait sur les conditions générales de la production des « œuvres » au sens de Meyerson, en Grèce et dans les autres cultures anciennes.

12Dans un esprit pacificateur, on pourrait dire qu’il y avait seulement là deux intérêts de la connaissance qui s’affirmaient, et qu’ils n’étaient en droit pas exclusifs. Mais c’étaient bien les mêmes objets qui étaient abordés sur des modes opposés, avec des priorités différentes. D’où la non-rencontre.

13Un croisement, toutefois, entre les démarches se fait jour depuis plusieurs années. C’est sans doute la tâche à venir des antiquisants dans le domaine des textes – à condition qu’ils ne se laissent pas prendre par un fonctionnalisme romantique, qui décide a priori que les œuvres antiques sont de simples actualisations des attentes d’une société « archaïque » considérée de manière idéaliste comme étant essentiellement unifiée, avec par exemple l’interprétation actuellement dominante des récitations poétiques comme rituels parmi d’autres, sans contenu cognitif propre, sans point de vue particulier. Ce dogmatisme abstrait, qui s’appuie sur des modèles anthropologiques dépassés, est totalement étranger à la science de Vernant, qui était attentive aux ruptures au sein d’une même société. L’école des héritiers directs de Vernant, depuis la mort de Nicole Loraux, est actuellement peu littéraire ; les textes poétiques n’y sont plus au centre des intérêts et la science s’y est en grande partie fragmentée, selon des spécialités, en rupture avec le projet de fondation, qui était comparatif et global. C’est l’occasion d’une renaissance, avec, comme cela se met déjà en place à l’Ehess (et n’a en fait pas cessé du côté des images) un retour sur les potentialités sémantiques et pragmatiques d’objets définis, objets matériels, rituels, considérés comme porteurs de formes spécifiques d’une symbolisation comprise comme situation et comme action. Un comparatisme est donc en train de revenir, d’objet à objet, selon les cultures, après avoir été longtemps négligé.

14Le côté « bollackien » se trouve maintenant en phase avec des questions posées par le projet initial de Vernant : l’insistance sur la singularité des textes permet de mieux définir leurs conditions historiques de possibilité. On apporte par là à l’anthropologie et à l’histoire un point de vue nouveau pour une compréhension générale des conditions du sens, point de vue non plus seulement sémantique et expressif, comme il l’était avec le repérage des catégories sous-jacentes composant une « mentalité » ou une « identité » globales, mais point de vue syntaxique et constructif. Le langage construit dans la temporalité interne à chaque œuvre [6] et dans le dialogue critique d’œuvre à œuvre et des œuvres avec leurs contextes discursifs, ce qu’on peut appeler un monde de rapports différenciés au monde, monde situé, contradictoire, selon des syntaxes qui relient différemment les mêmes contenus traditionnels. Le concept de pratique, sans cesse invoqué maintenant dans les sciences sociales et que l’on oppose trop facilement aux systématisations prend alors une valeur effective : celle d’un rapport déterminé et expérimental à une totalité visée, qui peut être, selon les genres discursifs, une société dans son rapport avec d’autres (Homère), l’ensemble des traditions mythiques (Hésiode), un ensemble de valeurs et de normes (la tragédie et la comédie), une situation typique ou historique (la lyrique). Ce qui fait système, par delà les œuvres, est l’ensemble de ces visées, la plupart du temps opposées, qui se conditionnent entre elles et qui toutes affrontent des institutions, c’est-à-dire des formes réifiées de discours. Une situation historique peut par là être définie, et la comparaison entre les situations redevient pour la philologie aussi une condition de son travail.

Notes

  • [1]
    Où il y avait aussi, pour Bollack, de vraies amitiés, avec Raymond Weil, Jacques Bompaire, André Mandouze, toutes marquées, en plus du lien intellectuel, par des traditions confessionnelles qui ne trouvaient pas une place confortable dans une institution portée par un républicanisme qui s’était fermé jusqu’à, parfois, s’oublier du temps de Vichy.
  • [2]
    Sur la distribution des lieux académiques en France, leurs fonctions et leur stabilité systémique, je renvoie à mon étude, « Crise de système dans l’enseignement supérieur français ? », in Paul Servais (dir.), L’évaluation de la recherche en sciences humaines et sociales – Regards de chercheurs, Bruxelles, Bruylant, 2011, pp. 55-82.
  • [3]
    Le Centre de recherche philologique, soutenu par le Cnrs, a survécu dans les années 1970 et 80 grâce au soutien des sciences sociales, au Ministère, à la Msh et à l’Ehess.
  • [4]
    Sur les différences entre cette perspective et celle des historiens des Annales, voir l’étude très éclairante de Jacques Revel, « Psychologie historique et histoire des mentalités », in François Parot (dir.), Pour la psychologie historique. Écrits en hommage à Ignace Meyerson, Paris, Puf, 1996, pp. 209-227.
  • [5]
    Qui allait devenir en 1975 l’École des hautes études en sciences sociales.
  • [6]
    Deux vers identiques d’Homère ne disent pas la même chose. Il ne suffit pas de dire qu’ils sont formulaires (selon un point de vue privilégiant le système et le paradigme, la langue, selon un concept actuellement remis en question). Leur sens est dans le passage de l’un à l’autre.
Pierre Judet de La Combe
Pierre Judet de La Combe, helléniste, Directeur de recherches au Cnrs rattaché au Centre Georg Simmel, enseigne comme Directeur d’études à l’Ehess. Son séminaire « L’interprétation littéraire. Théories et pratiques » porte sur la poésie et la philosophie grecques et sur l’histoire des modèles herméneutiques. Son domaine est la tragédie grecque (L’Agamemnon d’Eschyle. Commentaire des dialogues, 2 vol., Villeneuve d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2001, Les tragédies grecques sont-elles tragiques ? Théâtre et théorie, Montrouge, Bayard, 2010), la comédie (Aristophane. Les Grenouilles, Paris, Les Belles Lettres, 2012) et, actuellement, l’épopée homérique. Son travail philologique s’élargit à une réflexion sur l’enseignement des langues en Europe (L’avenir des langues. Repenser les Humanités, avec Heinz Wismann, Paris, Cerf, 2004).
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Mis en ligne sur Cairn.info le 19/09/2014
https://doi.org/10.3917/cite.059.0149
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