Catherine Finetin, ingénieure d’études au Centre d’Études de l’Inde et de l’Asie du Sud (UMR 8564 CNRS-EHESS), a travaillé à 30 figures de ce manuel. Les auteurs remercient le CEIAS pour son soutien et leurs collègues pour la richesse des interactions. Les logiciels utilisés sont ArcGIS et Adobe Illustrator, avec la base mondiale numérique DCW.
Les autres illustrations sont l’œuvre de Bertrand Lefebvre (UMR IDEES, ao-seine. com) sur Philcarto, d’Aurélie Boissière (boiteacartes. fr), d’Hortense Rouanet (université Paris-Est), de Julie Robert, Lola Salès et Anne-Marie Barthélémy (université Paris Ouest-Nanterre-La Défense).
La plupart des cartes sont à l’échelle des 640 districts ou des 28 États qui composaient l’Union indienne lors du dernier recensement général de 2011 (29 États depuis 2014).
Outre ce recensement (Census of India), qui se tient tous les dix ans, les sources statistiques incluent notamment les enquêtes de la National Sample Survey Organisation (NSSO), conduites auprès d’échantillons dépassant couramment les 100 000 ménages et disponibles en ligne. Des données payantes sont disponibles sur statindia. com. D’une façon générale, l’État indien fournit de nombreuses statistiques, et de qualité satisfaisante. Le manque de données est cependant marqué à propos de secteurs d’activité émergents, ainsi que sur les nouvelles échelles de gouvernance, notamment celles de la ville et de ses quartiers.
La roupie indienne valait 0,014 euro en juin 2015 (1 € = 71 Rs, 1 $ = 64 Rs)…