CAIRN.INFO : Matières à réflexion

1 Le chapitre 1 retrace la généalogie du travail sur le commun : sa naissance en Grande-Bretagne au 19e siècle (le mouvement des settlements) ; sa transformation aux USA avant et après la 2e guerre mondiale, principalement par Saul Alinsky (2011 [1971]) qui a mobilisé les habitants des ghettos de Chicago après la Grande Dépression de 1929 ; puis son développement en Allemagne [2], avec de vifs conflits entre « radicaux » et « réformistes ».

2 Les chapitres 2 et 3 traitent respectivement de l’histoire et de la typologie des villes, puis des concepts et des théories sociologiques de la ville. Ils sont très intéressants car ils montrent que l’Allemagne a une culture urbaine ancienne et que les sociologues allemands ont fait de la ville un objet sociologique majeur, bien avant leurs homologues français, peut-être parce que l’urbanisation a été plus lente et plus tardive en France (Stébé, 1995, p. 23 ; Remy, 2015). Le chapitre 3 fait une analyse critique pertinente des fondements théoriques et des concepts de développement urbain, urbanité et espace social.

3 Le chapitre 4 montre comment les sociétés urbaines se transforment depuis la fin de la seconde guerre mondiale, sous l’influence de facteurs technologiques (le taylorisme, puis le fordisme), économiques (la division internationale du travail, la tertiarisation des activités) et politiques (la flexibilisation des emplois, l’aménagement du territoire, le soutien à la mobilité, etc.). Ces changements constituent pour la ville à la fois des opportunités et des risques. Becker souligne la complexité des relations entre les transformations de l’espace physique et celles de la vie sociale, les urbanistes jouant souvent à l’apprenti-sorcier.

4 Le chapitre 5 analyse les transformations qui affectent la vie sociale dans les villes depuis 1945. Il montre les spécificités des quartiers tenus à l’écart, ce qui explique le recours au travail sur le commun. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, Becker distingue trois étapes dans l’évolution des modes de vie urbains : d’abord le souci d’améliorer les conditions de vie (Lebensstandard) en termes matériels et quantifiables. Ensuite, des préoccupations en termes de qualité de vie ; la protection de l’environnement, à la fois naturel et construit, devient essentielle. La question centrale aujourd’hui est le style de vie, à la fois individuel et collectif, avec les questions d’épanouissement personnel, d’égalité entre les hommes et les femmes, d’accès à l’éducation et à la culture, etc. Les styles de vie se traduisent dans des modes de vie plus individualistes et hédonistes, une baisse de la natalité très marquée en Allemagne, une hausse des divorces.

5 Le vieillissement de la population est lui aussi plus marqué en Allemagne qu’en France et l’immigration est une nécessité vitale sur le plan économique, qu’elle vienne de l’étranger (Turquie) ou, après la chute du mur de Berlin en 1989, de l’ex-Allemagne de l’Est, ou encore qu’elle soit le fait des descendants des émigrés allemands venant de Russie, de l’ex-URSS ou d’Europe de l’Est ; ils ont un statut de « rapatriés » (Aussiedler). En se combinant, ces transformations aboutissent au renforcement des inégalités sociales et à des ségrégations plus marquées, notamment dans la « reconquête » par les classes moyennes des quartiers populaires bien situés dans l’espace urbain (gentrification). Dans ce dernier exemple, le conflit entre les anciens habitants (established) et les « intrus » (outsiders) illustre une « logique de l’exclusion » (Élias et Scotson, 1997 [1e éd. 1965]). Becker souligne enfin comment le travail sur le commun a pris une place importante dans la planification urbaine en Allemagne, notamment à la fin du 20e siècle, dans le programme en faveur des quartiers défavorisés : Soziale Stadt (ville sociale), assez proche de la « politique de la ville » en France (Blanc, 2007).

6 Le chapitre 6 détaille les stratégies et les programmes de développement social urbain. Ils ont une dimension internationale avec les Agendas locaux 21 et diverses chartes, mais la dimension européenne s’affirme plus fortement, avec des financements importants à la clé : URBAN 1 et 2, URBACT, le Fonds social européen, etc. En Allemagne, le niveau national ne relève pas exclusivement de l’État central, mais tout autant des États régionaux (Länder) et des communes. Soziale Stadt (Ville sociale) est le programme conjoint du gouvernement fédéral et des Länder depuis 1999. C’est un programme très proche de la politique de la ville française dans ses objectifs. Mais sa mise en œuvre se décline de façon originale, beaucoup plus « ascendante » (bottom up). L’autonomie communale est plus grande, le soutien aux initiatives locales et au « pouvoir d’agir » des habitants est plus affirmé, ce qui ne veut pas dire que tout soit parfait !

7 Becker donne l’exemple des budgets participatifs. Il souligne que les communes ont un intérêt commun avec les « initiatives de citoyens » [3] et l’ensemble des habitants : résister au néolibéralisme qui voudrait privatiser tous les services publics, nationaux et locaux, transformant les citoyens en consommateurs et en « clients ». Tombé dans l’oubli en France, le « droit à la ville » d’Henri Lefebvre (1968) connait un regain d’intérêt en Allemagne (mais après un détour par les USA). De ce point de vue, en Allemagne, la participation des habitants ne se limite pas à la discussion. « L’aide à l’entraide » (Hilfe zur Selbsthilfe) encourage les habitants à ne pas s’en tenir à des listes de revendications à remettre aux autorités locales pour qu’elles traitent le problème, mais à s’organiser entre eux pour réaliser eux-mêmes une partie des améliorations souhaitées (dans leur logement, les jardins publics, etc.). Ce chapitre se termine par des recommandations et des préconisations concrètes pour un développement social urbain intégré, un dispositif continu de suivi et d’évaluation (monitoring), des conditions favorisant la participation des habitants, etc.

8 Le chapitre 7 se centre sur les outils et les marges de manœuvre du travail sur le commun pour impulser des innovations sociales. Quand un espace est partagé par des individus et des groupes, ils doivent trouver des compromis de coexistence pour vivre ensemble de façon acceptable de part et d’autre. Cet exercice est difficile car de tels compromis sont toujours susceptibles d’être remis en cause. Mais l’exercice est encore plus difficile dans les quartiers dits « pauvres » ou « défavorisés » [4] : les inégalités sociales, les différences culturelles et les conflits sur les valeurs sont des obstacles majeurs au débat public. C’est pourquoi le travail sur le commun repose sur des travailleurs sociaux spécialisés qui ont une fonction de médiateur et de passeur dans le développement social du quartier. Ce travail ne s’improvise pas et il se fonde sur une analyse scientifique rigoureuse de l’espace social du quartier et sur des méthodologies éprouvées. Il doit déboucher sur un projet de quartier réalisé avec les habitants, et non pour eux mais sans eux.

9 La recherche-action a de nombreuses variantes, mais elle a toujours l’ambition d’associer chercheurs et acteurs dans la réalisation d’une recherche qui les concerne, dans la définition des objectifs, la réalisation de l’enquête et l’analyse des résultats (Blanc, 2011). Elle est par conséquent un outil bien adapté au travail sur le commun dans le développement social d’un quartier. Ce travail se fonde sur 10 « thèses » (ou principes) sur la participation des habitants qui lui servent de charte (p. 176-182). Il débouche sur une « matrice de la participation » qui permet de vérifier qu’aucun des groupes-cibles n’a été oublié et qui facilite l’analyse des résultats (p. 182).

10 La conclusion expose les défis que le travail sur le commun doit relever pour parvenir à un véritable développement social urbain et elle dégage quatre axes majeurs :

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  • La santé de tous (ou santé communautaire) : permettre à tous les habitants de rester en bonne santé. C’est un axe d’intervention fédérateur et qui amène à traiter de multiples domaines.
  • Le jardinage et l’agriculture urbaine : au-delà de la fonction conviviale des jardins partagés, mettre une alimentation de qualité à la disposition d’une population pauvre est essentiel.
  • L’économie sociale et solidaire : pour les mêmes raisons, toutes les initiatives en faveur d’un développement économique du quartier ont une grande importance : elles créent des emplois et répondent de façon adaptée aux besoins des habitants.
  • La « durabilité » [5] sociale et la nouvelle question du logement : l’Allemagne est plus avancée que la France dans une rénovation énergétique de logements produisant plus d’énergie qu’ils n’en consomment. Ce serait une bonne chose mais, les investissements de départ sont élevés et, même s’ils sont rentabilisés ensuite, ils excluent les pauvres. L’enjeu est d’inventer un nouveau modèle économique de rénovation énergétique, bénéficiant aux pauvres.

12 La dernière proposition de Becker appelle la discussion : dans le développement social des quartiers, le travail social devrait assurer la médiation et devenir le garant de la cohérence du projet global, devenant une « instance intermédiaire » de coordination entre les élus locaux, l’administration et les habitants pauvres (p. 192). Mais, dans tous les partenariats, les conflits de pouvoir entrainent des blocages. La coordination est une forme de prise de pouvoir : tout le monde est d’accord sur le principe de la nécessité de la coordination. Mais le coordinateur est soupçonné de faire une synthèse qui privilégie ses intérêts sur ceux des autres partenaires. Chacun veut être le coordinateur et refuse d’être « coordonné » par un autre. Les travailleurs sociaux peuvent-ils être à la fois coordinateurs et parties prenantes ?

Discussion

13 Cet ouvrage présente clairement le travail social sur le commun en Allemagne et la façon dont il se fait le défenseur des plus pauvres dans les quartiers dits défavorisés. En même temps, Becker traite deux autres questions tout aussi importantes : l’enracinement du travail sur le commun dans la sociologie urbaine et l’émergence du travail social comme discipline scientifique autonome.

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  • Le travail social sur le commun est issu des travaux pionniers de l’École (sociologique) de Chicago [6], dont Saul Alinsky a été un disciple dissident, car très politisé. En outre, la sociologie urbaine allemande est plus tournée vers la pratique (Praxis) que la sociologie urbaine française. Bien avant la sociologie francophone (Remy, 2015), la sociologie allemande a fait de l’espace un objet sociologique central.
  • En Allemagne et dans les pays anglo-saxons, il est assez facile de créer une nouvelle discipline scientifique, sur le plan épistémologique comme sur le plan institutionnel : recherches sur la paix (Friedensforschung), recherches sur les femmes (Frauensforschung), etc. Becker considère le travail social comme un champ scientifique en émergence, appartenant aux sciences de l’action (comme la médecine, la gestion, etc.). Il faut alors relativiser le paradigme de la coupure épistémologique (Gaston Bachelard), au profit de celui de la réflexivité, en considérant avec Norbert Élias (1993) que la science est faite d’engagement et de distanciation à la fois. À la différence de l’enseignement supérieur allemand qui accueille des Facultés et des Hautes Écoles en travail social, les Universités françaises sont très réticentes devant ce qui leur apparaît comme un « mélange des genres ».

15 Même si ce n’est pas l’objectif visé par son auteur, cet ouvrage permet aux chercheurs et acteurs français de la Politique de la Ville de mesurer les écarts entre les visions et les pratiques sur les deux rives du Rhin. Les différences dans la culture politique jouent un rôle essentiel : l’Allemagne est un État fédéral (comme la Suisse, la Belgique, les Pays-Bas etc.). Selon le principe de subsidiarité, on cherche à régler les problèmes au niveau local et on ne les fait remonter que lorsque le niveau local n’est pas en mesure de les traiter. Cette approche ascendante (bottom up) a des conséquences majeures pour le travail sur le commun dans le développement social des quartiers :

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  • Les communes et les intercommunalités ont une grande autonomie et elles peuvent prendre des initiatives sans la permission du gouvernement central. « L’État local » est une réalité.
  • De même, la société civile n’est pas sous la tutelle de l’État central et, paradoxalement, il existe des partenariats publics privés très éloignés de la vision néo-libérale qui soumet les acteurs publics aux intérêts privés.
  • Le simple citoyen est davantage pris au sérieux en Allemagne : il a accès aux documents administratifs et les fonctionnaires de la municipalité sont au service du public, des partisans comme des opposants au Maire de la commune. Ils ne sont pas au service exclusif du « patron ».

17 L’originalité et l’intérêt des pratiques et des conceptualisations allemandes apparaissent dans les détails. En voici un simple exemple : malgré la fascination allemande pour la sociologie nord-américaine, les Allemands ont renoncé à la célèbre « échelle de la participation » à huit niveaux de l’Américaine Sherry Arnstein [7] en 1969, peu adaptée au contexte européen. Becker propose une échelle de la participation à quatre niveaux (p. 179) :

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  1. La simple information des habitants : il est inutile d’en souligner les limites.
  2. La concertation et la co-réalisation (Mitwirkung) : les habitants mobilisés entrent dans un processus de négociation des améliorations à apporter dans leur quartier, voire de la réalisation d’une partie des travaux par eux-mêmes. En mettant sur le même plan la concertation et la co-réalisation, cette échelle introduit la dimension pragmatique de la participation ; la participation discursive est monopolisée par ceux qui maîtrisent la parole en public et elle exclut les plus pauvres, économiquement et culturellement, alors qu’ils ont des compétences pratiques qui sont valorisées dans le cadre d’une action concrète.
  3. La co-décision : lorsque autorités locales et habitants parviennent à un accord.
  4. L’auto-organisation : c’est une dimension ignorée en France et essentielle : les habitants doivent pouvoir choisir les formes d’organisation qui leur conviennent et non se voir imposer des formes d’organisation inadaptées.

19 Les questions traitées dans cet ouvrage sont très proches de celles que les acteurs de la politique de la ville se posent en France. La confrontation des réponses apportées sur les deux rives du Rhin peut être une source d’inspiration et d’enrichissement mutuel. Il ne s’agit pas de « bonnes pratiques » à recopier, mais d’exemples qui peuvent donner des idées nouvelles, à condition de les adapter au contexte français.

20 Il faut espérer qu’une traduction de cet ouvrage sera bientôt disponible. En attendant, les chercheurs et les acteurs français de la politique de la ville qui lisent l’allemand, même sans le maîtriser parfaitement, ont deux raisons pour se plonger dans l’original sans trop de difficultés. L’auteur a un souci pédagogique affirmé et il propose de nombreux schémas et tableaux qui facilitent la lecture. Il n’est pas non plus nécessaire de tout lire : quel que soit leur intérêt, les chapitres 2 à 5 sur les théories de la ville ne sont pas indispensables à la compréhension de la place du travail sur le commun dans le développement social urbain en Allemagne : les chapitres 1 et 6 à 8 suffisent pour cela.

Notes

  • [1]
    L’ouvrage dont il est question ici est Soziale Stadtentwicklung und Gemeinwesenarbeit in der Sozialen Arbeit, [Développement social urbain et travail sur le commun dans le travail social],
    Stuttgart, Kohlhammer Verlag, 2014, 212 pages. « Travail social communautaire » est une traduction possible (Blanc et Eberhardt, 2011), mais elle est source de malentendus, car il s’agit de la communauté de quartier et non de la communauté ethnico-religieuse (Blanc et al., 2015). Le travail social d’intérêt collectif et les initiatives sociales d’intérêt communautaire font quelques pas timides dans cette direction.
  • [2]
    (Ndlr) Cette histoire est développée dans l’article de Dieter Oelschlägel dans ce numéro du Sociographe.
  • [3]
    Les « initiatives de citoyens » (Bürgerinitiative) s’inscrivent dans une longue tradition : les citoyens qui s’estiment lésés par un aspect précis de la politique de la municipalité peuvent se regrouper et prendre des initiatives pour apporter eux-mêmes des améliorations au problème qui les concerne, ou pour faire pression sur les autorités locales, en organisant par exemple un referendum d’initiative populaire. Dans les années 1970, ces « initiatives » ont souvent participé à la lutte contre la rénovation urbaine, ou contre d’autres aspects de la planification urbaine. Elles sont une des composantes à l’origine du parti allemand des Verts (die Grünen).
  • [4]
    On dit quartier défavorisé (benachteiligt) en allemand. En France, on a longtemps dit « sensible », soi-disant pour ne pas les stigmatiser ! Aujourd’hui, la pauvreté des ménages est le critère explicite de leur sélection ; il vaudrait mieux appeler les choses par leur nom et renoncer au sigle exécrable de QPV (quartier de la politique de la ville) !
  • [5]
    « Durable » est une mauvaise traduction de sustainable en anglais et de nachhaltig en allemand : les déchets nucléaires sont « durables », sans être du développement durable !
  • [6]
    À ne pas confondre avec « l’École de Chicago » de l’économiste ultra-libéral Milton Friedmann.
  • [7]
    En français, on trouve cette échelle sur Wikipédia à la rubrique : « participation politique ».
Français

Cet ouvrage est un manuel destiné aux étudiants en travail social des pays germanophones (Allemagne, Autriche, Suisse). L’auteur est professeur à la Haute École catholique en travail social de l’Université de Freiburg en Allemagne. Les francophones qui lisent l’allemand y trouveront la présentation et l’analyse critique d’une spécialisation en travail social reconnue dans les mondes anglophones (community organization) et germanophones, mais qui n’a pas d’équivalent en France : Gemeinwesenarbeit, que je traduis par « travail sur le commun », en considérant un quartier comme le bien commun de ses habitants.

Mots-clés

  • Histoire du travail social
  • quartier
  • travail commun
  • discussion
  • budget participatif
  • la santé
  • innovation
  • marge de manœuvre

Bibliographie

  • Alinsky, Saul, Être radical, Bruxelles, Aden, 2011. [1e éd. Rules for Radicals, 1971].
  • En ligneBlanc, Maurice, « La “politique de la ville” : une “exception française” ? », Espaces et Sociétés, n°128-129, pp. 71-86, 2007.
  • En ligneBlanc, Maurice, « Participation et médiation dans la recherche en sciences sociales : une perspective transactionnelle », Pensée plurielle, n°28, pp. 69-77, 2011.
  • En ligneBlanc, Maurice & Eberhardt, Axel, « Travail social communautaire et mobilisation des habitants dans les quartiers populaires en Allemagne », Informations sociales, n°163, pp. 106-114, 2011.
  • Blanc, Maurice ; Michon, Bruno & Wagner, Rudi, « Le travail social sur le commun : l’impensé de l’intervention sociale en France », in Muller B. ; Michon B. & Somot B. (dir.), Les controverses du travail social en France et en Allemagne, Paris, L’Harmattan, p. 113-131, 2015.
  • Élias, Norbert et Scotson, John L, Logiques de l’exclusion : enquête sociologique au cœur des problèmes d'une communauté, Paris, Fayard, 1997. [1e éd. Established and Outsiders, 1965].
  • Élias, Norbert, Engagement et distanciation : contribution à la sociologie de la connaissance, Paris, Fayard, 1993. [1e éd. 1983].
  • En ligneOelschlägel, Dieter, « Histoire du Gemeinwesenarbeit (travail social sur le commun) dans la République fédérale d’Allemagne », Le Sociographe, n° HS9, 2016.
  • En ligneRemy, Jean, L’espace, un objet central de la sociologie, Toulouse, Erès, 2015.
  • Stébé, Jean-Marc, La réhabilitation de l'habitat social en France, Paris, PUF, 1995.
Martin Becker
Professeur en travail social, spécifiquement en développement social urbain à l’école de Friebourg.
Cette publication est la plus récente de l'auteur sur Cairn.info.
Mis en ligne sur Cairn.info le 20/03/2017
https://doi.org/10.3917/graph.hs09.0117
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