Excellence Don Daniel Salas, Ministre de la santé du Costa Rica,
Monsieur le recteur de l’Université du Costa Rica,
Excellence Mme Dona Esther Kuisch-Laroche, directrice et représentante du bureau multipays de l’UNESCO à San José,
Excellence Monsieur Thierry Vankerk-Hoven, Ambassadeur de France au Costa Rica,
Monsieur le Prof.Alfonso Chacon Mata, Président du Comité scientifique du Forum,
Cher(e)s ami(e)s, cher(e)s collègues, mesdames et messieurs,
Ceux d’entre vous qui me connaissent depuis un certain temps vous diront combien j’aime illustrer dans ces mots d’ouverture ce qui est pour moi le sens concret de nos réunions.
Même absent, je ne manquerai donc pas à ce rituel et cette fois je m’appuierai sur la personnalité et l’œuvre de l’écrivaine et femme de culture costaricaine Carmen Naranjo.
Il s’agit, en effet, de répondre à la question simple : qu’est-ce qui nous rassemble aujourd’hui dans une continuité de réflexion et de coopération ?
En tant que président du Comité intergouvernemental de bioéthique de l’UNESCO et Secrétaire général de l’Association internationale droit, éthique et science, je pourrais avec conviction insister sur l’indispensable dimension internationale du combat pour faire de la bioéthique et du développement durable les outils d’un monde plus juste, plus solidaire et soucieux des générations futures.
Avec les mots de Carmen Naranjo, je choisis de vous dire de façon plus directe et plus forte que « tout ce qui fortifie la connaissance doit être mis en œuvre d’où l’importance de la propagation des universités pour mettre en valeur et développer ce que les communautés possèdent (et que pour cela), il n’est pas nécessaire d…