Abstract
The controversy about to which extend PGD may be applies is particularly interesting because it stresses on a paradoxical point concerning PGD.
Although this technique is strictly regulated in most European countries where it is regularly practised, the legal status of PGD may appear to some as unethical because it may be viewed as a facilitator for those who would like to select children for reason other than medical. The need to test human embryos before birth and the consequences that may occur to those detected with some abnormalities also revives the issue of the respect due to the human embryo.
Keywords
- preimplantation diagnosis
- disabled
- status of embryo
- eugenics
- comparative law
- community law
- comparative study
Résumé
La controverse sur les limites de l’utilisation du diagnostic préimplantatoire est particulièrement intéressante parce qu’elle met en avant un paradoxe concernant le DPI.
En effet, quoique cette technique soit strictement réglementée en Europe, son statut légal est pour certain contraire à l’éthique car il est compris comme une manière de reconnaître la possibilité de sélectionner des enfants pour des raisons autres que médicales. La nécessité de dépister des embryons et les conséquences qui peuvent en découler pour ceux d’entre eux qui se révèlent porteurs d’anomalies ravive également la question du respect dû à l’embryon humain.
Mots-clés
- diagnostic preimplantatoire
- handicape
- statut de l’embryon
- eugénisme
- droit comparé
- droit communautaire
- étude comparative